Plongez au cœur de l’histoire millénaire du Quercy, une région riche en mystères préhistoriques et trésors médiévaux. De l’art rupestre fascinant qui révèle les talents artistiques des temps anciens à la splendeur médiévale de Cahors, cette aventure captivante vous transporte à travers les époques. Explorez les cavernes du Quercy, témoins des premières expressions artistiques de l’humanité, puis parcourez les rues médiévales de Cahors, où chaque pierre raconte une histoire. Suivez-nous dans ce voyage envoûtant, où le passé prend vie et où chaque découverte éveille une nouvelle fascination pour les trésors cachés de cette région empreinte d’histoire.
Préhistoire : L’Art Rupestre du Quercy
Il y a des milliers d’années, des artistes en herbe ont laissé leur empreinte dans les cavernes du Quercy, offrant une vision époustouflante dans le temps. Visiter la Grotte du Pech Merle reste un moment incroyablement chargé d’émotions, avec des peintures pariétales remarquables de chevaux ponctués, bisons, mammouths, aurochs, et la célèbre main négative qui vous feront ressentir toutes les sensations de l’époque.
De nombreuses grottes sur le territoire ont servi d’habitats. Certaines conservent encore le mystère de leur genèse, ce qui les entourent d’une aura de fascination et de curiosité. Les légendes qui les entourent ont marqué la mémoire des habitants, faisant partie intégrante de leur histoire.
Le Lot compte au moins huit grottes et sites paléontologiques ouverts au public, témoignant de la richesse de ce département en matière de cavités souterraines. Partez pour une expérience exceptionnelle, explorer et découvrir un patrimoine préhistorique incroyablement fascinant, dont vous sortirez envoûté.
Antiquité : Divona Cadurcorum, Capitale des Cadurques
La ville a une histoire ancienne et prestigieuse. Capitale de la tribu Celte des Cadurques, elle bénéficie d’un emplacement stratégique grâce à la voie fluviale du Lot empruntée par les nautes et les bateliers.
Sur la rive gauche du Lot, les Cadourques ont érigé un sanctuaire en l’honneur de Divona, déesse des sources, au moyen d’une imposante résurgence naturelle. L’Empire romain a annexé les terres des Cadourques en 51 avant J.C. après une ultime bataille, menée par Lucterios, le dernier chef gaulois à avoir résisté à Jules César, qui apparaitrait sous le nom d’Abraracourcix dans la BD Astérix, à Uxellodunum, dans le nord du département actuel. L’empereur Auguste a ensuite fondé une ville, Divona Cadurcorum, pour administrer son nouveau territoire à l’intérieur du cingle.
Bien que recouverte par la ville moderne, la ville antique de Divona Cadurcorum continue de se dévoiler au fil des fouilles archéologiques. Des vestiges de son riche passé se révèlent par endroits, tels que l’Arc de Diane ou un pan de mur de l’amphithéâtre. Divona Cadurcorum, capitale romanisée des Cadourques, était pourvue de thermes, d’un amphithéâtre, d’un temple, et de nombreuses maisons ornées de mosaïques.
La cité de Divona Cadurcorum éveille en nous l’image d’une source sacrée (peut-être la Fontaine des Chartreux) et la présence de la tribu des Cadurques. Sous l’empire Gallo-Romain, son importance était manifeste, occupant la boucle du Lot avec son pont qui franchissait majestueusement la rivière ainsi que son aqueduc l’approvisionnant en eau du Vers.
Les édifices de Divona témoignaient de son statut privilégié: thermes, temples, amphithéâtre (sous l’actuelle place François Mitterand et les allées Fénelon, dont les restes peuvent être observés dans un parking souterrain) et un théâtre (démolie pour faire place à la voie de chemin de fer).
Le Pont Vieux, reliant la ville au Sud, offrait le passage des voies romaines vers Toulouse, Agen et Rodez. C’est au milieu du XIe siècle qu’un nouveau pont devient son successeur.
Malheureusement, la ville reculera au fil des siècles suite aux incursions barbares (en 471 et 513) et sera en partie détruite par les Francs Mérovingiens lors de leur prise de la région en 574. Toutefois, grâce à l’energique évêque de Saint Didier, la cité érigea sa première cathédrale et regagna de sa superbe. Par la suite, elle subira les assauts de pillages successifs des Sarrazins (en 732) et des Vikings.
Le sous-sol de Cahors recèle des secrets enfouis de l’ancienne cité Gallo-Romaine, qui a malheureusement subi les assauts dévastateurs des Barbares en 471, 513 et finalement en grande partie détruite en 571 par les troupes du roi d’Austrasie Théodebert Ier.
Moyen Âge : La Cathédrale Saint-Étienne, Témoin d’une Prospérité Médiévale
C’est durant le Moyen Âge que les grands édifices qui font aujourd’hui la notoriété de Cahors ont été construits. En regardant de plus près, les anciennes murailles construites au 7ème siècle par l’évêque Saint-Didier s’élèvent fièrement le long du grand boulevard, coupant la ville en deux. À l’intérieur de ces remparts se trouve le centre historique, un véritable « conservatoire de la maison médiévale en France » qui abrite une multitude de maisons marchandes, témoins de l’âge d’or de Cahors. C’est durant le Moyen Âge que les grands édifices qui font aujourd’hui la notoriété de Cahors ont été construits. En regardant de plus près, les anciennes murailles construites au 7ème siècle par l’évêque Saint-Didier s’élèvent fièrement le long du grand boulevard, coupant la ville en deux. À l’intérieur de ces remparts se trouve le centre historique, un véritable « conservatoire de la maison médiévale en France » qui abrite une multitude de maisons marchandes, témoins de l’âge d’or de Cahors.
Cahors et ses environs ont été évangélisés au VIIème siècle par l’évêque Saint Didier (mort vers 650). En 1085, les évêques de Cahors devinrent des comtes de la ville, sous la suzeraineté du comte de Toulouse. Cette transformation attira l’installation de communautés religieuses et la construction d’une nouvelle cathédrale.
La Cathédrale Saint-Etienne a été érigé aux XIème et XIIème siècles sur les vestiges d’une modeste église Carolingienne, probablement en bois et détruite au XIème siècle. La construction du nouvel édifice a été entreprise par l’évêque Géraud de Gourdon, défenseur de la réforme clunisienne. Les travaux se sont poursuivis sous le règne de l’évêque Géraud de Cardaillac, œuvrant à la splendeur de cette cathédrale monumentale.
Au Moyen Âge, la majestueuse Cathédrale se démarque par sa corpulence imposante. Elle a été construite à partir du XIème siècle et restaurée au XIVème siècle. Son côté nord arbore un portail Roman orné d’un tympan de qualité datant de 1240, représentant la scène de l’Ascension. Le Pape Calixte II consacra l’autel de la cathédrale en 1119.
À cette date, la nef, construite entre 1085 et 1120, était pratiquement achevée. Elle atteignait une longueur de 55 mètres et une hauteur de 32 mètres, couverte par deux coupoles sur pendentifs mesurant 18 mètres de diamètre et s’élevant à plus de 30 mètres de hauteur. Le chœur était surmonté par une demi-coupole adjacente.
La façade Ouest présentait un beau portail Roman au XIIème siècle, mais celui-ci a été déplacé sur le flanc Nord au XIIIème siècle lorsque la façade a été entièrement refaite dans un style Gothique. Quant au cloître, il a été réalisé plus tard, entre 1493 et 1550, dans un style Gothique flamboyant.
L’église Saint-Urcisse a une longue histoire, ayant été dédiée à Saint Saturnin à ses débuts puis à Saint Urcisse, le premier évêque de Cahors, entre 581 et 595. Pour autant, les vestiges romans issus de la construction initiale du XIIème siècle demeurent magnifiquement préservés dans les majestueux piliers intérieurs, agrémentés de leurs chapiteaux historiés. Le portail Ouest, quant à lui, daté du XIVème siècle, est finement décoré dans un style gothique remarquable. Les charmantes chapelles latérales, ajoutées ultérieurement, témoignent de l’évolution de l’art religieux au XVème siècle et au-delà. Jadis dotée d’une crypte, l’édifice fut malheureusement enseveli lors de la grande crue du Lot en mars 1927. Elle est désormais fermée pour des raisons de sécurité.
La ville devint par la suite une halte incontournable pour les pèlerins de la Via Podensis (Chemin du Puy) se rendant à Saint Jacques de Compostelle.
Au XIIème siècle, la ville devint très prospère, à l’image de la reconstruction de la cathédrale. Elle se transforma en une cité commerciale, avec l’arrivée de marchands et de banquiers lombards, qui lui conférèrent une place financière importante, comme en témoigne Dante dans la Divine Comédie. Le Pont Vieux au sud de la ville permettait de franchir le Lot.
Ce fut une période de prospérité économique et de renommée pour les Cahorsins, entre le milieu du 12ème siècle et du 14ème siècle. En effet, ces marchands devenus usuriers ont pratiqué le commerce et le prêt à intérêt à travers le monde, contribuant ainsi au développement de la ville. De plus, c’est aussi l’époque où Jacques Duèzes (1244-1344), originaire de Cahors, a été nommé pape Jean XXII à Avignon en 1316 et par la suite fondé l’Université de Cahors.
Le Pont Valentré érigé dans la première moitié du XIVème siècle à la demande des consuls de la ville, s’impose comme une majestueuse prouesse architecturale. Classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, il symbolise l’une des voies du Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
En levant les yeux, laissez-vous happer par les trois magnifiques tours qui surmontent le Pont Valentré, en admirant au loin deux autres ponts préexistants: le Pont Vieux datant de l’époque gallo-romaine et le Pont Neuf, érigé en 1254 sur le côté Est. Remontez le temps en explorant ce magnifique patrimoine historique.
À l’Ouest, un bac très fréquenté assurait la traversée du fleuve. Au XIVème siècle, la ville était au summum de sa prospérité. En 1306, les Consuls de Cahors ont décidé de la création d’un nouveau pont, mais les difficultés de financement ont retardé sa réalisation qui ne s’achèvera qu’en 1355 ou même dans les années 1370.
Cela dit, l’association et la contribution du roi de France Philippe IV le Bel ont permis de renforcer les fortifications de la ville et les ouvrages sensibles, dont le célèbre Pont Valentré construit de 1308 à 1350. De plus, à la fin du XIIIème siècle, la cathédrale était dans un état de décrépitude alarmant, ce qui a conduit à de vastes travaux de restauration de 1290 à 1320.
Au cours de la Guerre de Cent Ans, la ville a connu une période de déclin. Les drapiers et les tanneurs ont abandonné leurs activités pour fuir la ville qui se vidait de ses habitants au XIVe siècle, ne laissant derrière elle qu’un maigre contingent de 5000 âmes.
Toutefois, les fortifications ont été restaurées et renforcées pour se prémunir contre les invasions, notamment celle de l’armée anglaise qui a pris possession de la ville de Cahors en 1360 après le traité de Brétigny.
Renaissance : L’Héritage Humaniste et Artistique
Au XVIe siècle, Cahors était un haut-lieu de l’intellectualisme grâce à l’Université, aux collèges, et aux imprimeurs qui y ont établi leur entreprise. Les célèbres poètes humanistes Clément Marot (1496-1544), poète classique auprès de François 1er et pionnier de la langue française moderne, et Olivier de Magny (1529-1561) sont nés en cette ville. Ce dernier, célèbre poète né à Cahors au début du siècle, était proche des Protestants. En 1544, il émigre en Suisse puis en Italie.
De prime abord, la Renaissance n’a pas laissé une empreinte significative sur Cahors.
Seuls l’archidiaconé Saint-Jean et l’hôtel de Roaldès, qui se dresse sur le côté Est du quartier de la Cathédrale, est un joyau architectural qui a été construit à la fin du XVe siècle, comportant quatre étages dont une grande galerie au sommet.
Cette Maison Henri IV, est célèbre pour avoir accueilli le roi de Navarre et duc de Vendôme, en mai 1580, lors de la prise de Cahors par les Protestants. Un bel exemple de la Renaissance quercynoise !
Contrairement à Montauban, Cahors est restée fidèle au Parti Catholique pendant les Guerres de Religion. En 1560, les Catholiques massacrent des Protestants, mais en 1580, les troupes de Henri de Navarre, chef des Protestants, s’emparent de la ville qui sera pillée.
Les troupes Protestantes endommagent la cathédrale et la ville elle-même lors des Guerres de Religion.
L’Ancien Régime à Cahors : entre Religion et Transformations architecturales
Au XVIIe siècle, Cahors a connu un regain d’intérêt religieux avec le mouvement de la Contre-Réforme dirigé par l’évêque Alain de Solminihac (1593-1659) béatifié par Jean-Paul II en 1981. Il a restauré son diocèse et fondé un grand séminaire. Très proche de la population appauvrie par la guerre de cent ans, il visite chacune de ses paroisses à plusieur reprises et promeut le prêche en langue locale et fait imprimer un catéchisme en occitant. Il est à l’origine de plusieurs fondations charitables, d’orphelinats et d’hôpitaux. Il reconstruit le grand hôpital de Cahors.
L’administration de la Cour des Aides et du tribunal des Elus ont attiré des hommes de justice et du personnel important, qui ont adapté les maisons médiévales à leur goût en sculptant de belles portes, installant des fenêtres de combles appelées « mirandes » et des escaliers à volées droites. De plus, le XVIIe siècle a vu l’équipement de la rivière en premières écluses, facilitant considérablement le transport des marchandises grâce à l’initiative de l’intendant de Guyenne Pellot.
Au XVIIIème siècle, sous le règne de Louis XIV, les juristes sont déplacés à Montauban, la ville perd son influence tant sur le plan politique que culturel et commence à s’effondrer économiquement. En 1751, l’Université de Cahors a été déplacée à Toulouse, entraînant la suppression de l’établissement dans la ville. Il est difficile de trouver des exemples d’architecture du Siècle des Lumières, mais les escaliers en ferronnerie sont un véritable exemple de la beauté de l’époque.
Pendant l’Ancien Régime, la ville est restée nichée derrière ses remparts médiévaux jusqu’en 1770, date à laquelle ils ont commencé à être démolis et les fossés comblés, l’habitat s’étendant ainsi à l’Ouest.
Révolution Française : Tempêtes Révolutionnaires et Renaissance du XIXe siècle
La Révolution française a marqué un tournant pour la ville, amenant avec elle une nouvelle ère de développement des administrations juridiques. Les représentants de l’administration ont acquis de belles et grandes demeures qu’ils ont rapidement modernisées. Les portails baroques magnifiques qui ornent encore les rues du centre historique témoignent du goût de l’époque. Pour les retrouver, cherchez l’encadrement en pierre sculptée qui entoure la porte en bois richement décorée. Soyez patient, comme le dit si bien Clément Marot : « Tout vient à point à qui sait attendre ».
A la veille de la Révolution française, la ville comptait un peu plus de 10 000 habitants.
La cathédrale, témoin de l’Histoire, n’a pas été épargnée par la tourmente de la Révolution Française. Si elle a été remise en état au XIXème siècle, les méthodes utilisées ont parfois été sujettes à caution.
Sur le boulevard Léon Gambetta, vous marchez dans les pas d’un illustre cadurcien. Né à Cahors en 1838, Léon Gambetta (1838-1882) quitte la ville pour faire ses études de Droit à Paris en 1856. Il y devient un avocat de renom et pourfend vigoureusement le Second Empire. En 1869, il rédige la Charte du Parti Radical et, en 1870, il proclame la République avant de quitter Paris – alors assiégé par les Prussiens – dans un ballon aérien pour organiser la résistance. Une figure iconique à découvrir dans les rues de Cahors.
En 1871, cet homme noble se dressa résolument contre la signature de la paix avec les Prussiens et devint le leader incontesté du parti de l’Union Républicaine. En devenant Président du Conseil, il joua un rôle crucial dans les premières années de la IIIème République. Son engagement indéfectible en faveur de la laïcité en est un témoignage immuable.
Le 19e siècle a été témoin de l’émergence de l’ère industrielle et des grands travaux d’urbanisation pour améliorer la qualité de vie et l’hygiène publique. La ville de Cahors n’a pas été en reste. L’avenue majeure nouvellement tracée a vu naître des édifices de pouvoir, de loisirs et d’enseignement tels que le théâtre, la bibliothèque, l’hôtel de ville, le palais de justice et le lycée de jeunes filles.
Dans la seconde moitié du XIXème siècle, Cahors voit la voie ferrée s’implanter à l’Ouest de la ville. La gare se installe près du mythique Pont Valentré. L’activité économique reprend vie et la ville engrange près de 20 000 habitants en 1890. Les quais aménagés le long du Lot témoignent de ce désir de maitriser la vie aquatique.
Hélas, les principaux débouché de Cahors et du Quercy sont victimes de la concurrence française et étrangère, et le phyloxera détruit l’ensemble du vignoble. La population décline au cours de la première moitié du XXème siècle, pour se réduire à 12 000 habitants environ aux alentours de 1920.
Dans les années 1950, un second souffle se fait sentir, conduisant à l’extension de l’urbanisation vers l’ouest, le long des voies de communication et les pentes des coteaux du Lot. En 1970, la population de la ville atteint à nouveau le chiffre impressionnant de 20 000 âmes, devenant ainsi sa population officielle. Toutefois, le début du XXIème siècle voit l’agglomération se multiplier pour héberger environ 40 000 habitants.
Cahors : Une Odyssée à Travers les Siècles
Cahors, témoin de l’Antiquité, du Moyen Âge, de la Renaissance et des périodes modernes, incarne une odyssée à travers les siècles. Depuis les peintures rupestres émouvantes de la Grotte du Pech Merle jusqu’aux édifices majestueux comme la cathédrale Saint-Étienne et le Pont Valentré, chaque époque a laissé son empreinte dans les pierres de la ville.
Les traces de la tribu celte des Cadurques, les vestiges de Divona Cadurcorum sous la ville moderne, la prospérité médiévale avec ses marchands et universités, les tumultes des guerres et de la Révolution française, l’essor industriel et les défis modernes, tous ces éléments convergent pour former le tableau dynamique de l’histoire de Cahors. Une ville qui, malgré les vicissitudes du temps, a su conserver son caractère unique et son héritage exceptionnel, offrant aux visiteurs une plongée fascinante dans le passé.
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